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Assemblée générale et hommage à Lieutadés

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L’assemblée générale des anciens de Lieutadès, autrement dit des capujadous, reste toujours un moment de bilan qui démontre le dynamise de l’association. Cette année, il se trouvait particulièrement obligé de fêter les cent ans de Yvonne Troucelier présente le jour de la fondation et encore là 35 ans plus tard. La première partie de la rencontre décrivait l’activité du club. Après son propos d’introduction et de bienvenue, la présidente Monique Delfaut demandait une pensée pour les malades absents et ceux partis cette année avec une minute de silence. Elle donnait la parole à Lucien Cavalier et son panier d’animations en tous genres. Matinées anniversaires, tous les deux mois, excursion à Figeac, quine, la galette des rois, une tombola, le repas de fin d’année à Laguiole, fête du four, sorties et autres distractions. Paulette Boudon prenait le relais en soumettant la comptabilité où il ne manque pas un centime, une rigueur affichée dans le résultat du bilan qui présente un beau sold

Lumière sur les 13 vitraux de l’église Saint Blaise Saint Martin.

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  Récompensée lors des grandes expositions internationales de l’entre-deux-guerres, la manufacture Mauméjean connaissait de son temps l’attachement de ses nombreux commanditaires français, espagnols ou encore américains. Plus de cinq mille cathédrales, basiliques ou chapelles, disséminées dans une trentaine de pays, témoignent de l’activité de cette dynastie de vitrailliers, entre savoir-faire et industrie. Rarement, le visiteur entre dans l’univers des vitraux au cours d’un rendez-vous de l’église, sinon de s’arrêter subrepticement devant l’un ou l’autre. Ce samedi, la « conférence » s’organisait à l’occasion des journées européennes des métiers d’art, sous l’affable animation de Pascale Chappot, guide-conférencière. Une vingtaine de curieux découvraient quelques-uns des joyaux qu’ils ont laissés dans le Cantal et avant tout à Chaudes-Aigues. La guide détaillait dans un premier temps l’architecture du lieu de culte Caldaguès. Notait que le retable restait l’œuvre de Jean-Baptiste Ro

Restitution cour oasis

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     Quelques clichés, je vous en dis plus prochainement

Amis sportifs

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    A vos baskets Neuves

Une déchetterie ou une déchèterie ?

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La  déchetterie   et la déchèterie sont deux termes qui désignent des installations pour la gestion des rebuts, mais ils sont utilisés de manière interchangeable. L’Académie française recommande l’orthographe  déchèterie  qui pour elle est «  la forme la plus simple et la plus conforme à l’esprit de la langue  ». Voilà, c’est dit. L’une ou l’autre selon l’écriture est un espace aménagé, gardienné et clôturé. Où les particuliers peuvent apporter gratuitement leurs débris occasionnels  : ceux qui ne peuvent se collecter avec les ordures ménagères en raison de leur encombrement, de leur poids ou de leur nature. Elle contribue, de plein droit à la réglementation en vigueur, à la protection en valorisant vos résidus volumineux, dangereux et/ou réutilisables. Le projet à l’heure actuelle en préparation répondra mot pour mot et pratiquement à la recommandation ci-dessus. Elle permet de lutter contre les dépôts sauvages. Certains déchets sont récupérés ou recyclés par la suite. Les rebuts t

Pas tous les oeufs dans le même panier

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Il y en aura pour tous dans les rues...

Le Gravier surprend Rest’Hotel avec son Burger.

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Le championnat de burger régional se déroulait récemment, à la Grande Halle d’Auvergne dans le cadre du Salon Rest’Hôtel et métiers de bouche. L’occasion d’exposer un savoir-faire propre au mets, qui passe aussi par la capacité à se distinguer. Pendant près de deux heures, cinq équipes s’affrontaient pour produire le meilleur burger. De Chaudes-Aigues à Bourg-Lastic, ou encore Sorbiers (Loire), l’objectif demeure simple : se démarquer. Le restaurant du Gravier participait à ce défi. Comment l’information est parvenue en caldagués ? Un prospectus, arrivé par hasard sans doute, dans le courrier attire l’attention de Nadia. Elle le montre à Dimitri Gasq, le cuisinier de l’établissement. Puis tout s’enchaîne. Dimitri concocte un premier burger. La famille Garcia le goûte et puis chacun donne son avis et s’arrête sur une recette qui crée l’unanimité. Le règlement veut qu’il s’utilise quatre produits du territoire donc Cantal, viande Aubrac, Saint-Pourçain et jambon de pays. Manolo décide

Questionnements autour d’une déchèterie

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C’est entre la zone artisanale dite de La Rouniouse et le lotissement de Sansard qu’elle devrait trouver sa place. Si le projet est bien avancé sur le papier et dans son coût, il reste à informer les futurs voisins,promesse faite par le premier magistrat lors des vœux. Engagement tenu, c’est déjà bien. Une vingtaine de personnes concernées assistait au rendez-vous jeudi dernier sur les lieux d’implantation. Monsieur Jean-François Vedrines et madame Julie Frogneux de Saint-Flour-communauté accompagnaient Jean Luc Boucharinc et Michel Brousse. On notait aussi la présence des adjoints. Les élus soumettaient le plan à l’aide d’un schéma distribué à l’auditoire qui permettait d’identifier les sites et de montrer les divers éléments constitutifs d’un tel espace. Passée la présentation s’effectuait une reconnaissance des lieux et les questions ne manquaient pas de trouver des réponses concrètes. Combien de bennes ? Quels jours d’ouverture ? Qui ? Pourquoi ? Quand ? Comment ? Les camions